Le Cabinet Sen orientation est une entreprise spécialisée dans le placement, l’encadré, le conseil et l’orientation scolaire des élèves et des étudiants qui ont un projet de poursuivre leurs études à l’étranger. « Depuis dix ans le cabinet Sen orientation travaille avec le lycée Limamou Laye pour accompagner les élèves. Chaque année, nous accompagnons au minimum 50 étudiants. Depuis lors, nous avons pu accompagner au moins 500 étudiants avec un taux de réussite de 70 %.  Ce qui veut dire que nous sommes entre 300 et 350 élèves qui ont été assistés par le cabinet Sen orientation. Aujourd’hui, ils sont, soit dans les universités en France ou au Canada » a précisé Moussa Diao, Président directeur général du Cabinet Sen Orientation.

Le directeur de Sen orientation souligne que les élèves qu’ils accompagnent sont, soit des orphelins qui sont excellents, soit il s’agit de meilleurs élèves qui sont issus de familles démunies. « Dans le cadre de notre mission, nous assistons les élèves gratuitement pour toute la procédure jusqu’au dépôt de visa. Mais parmi ces élèves, nous retrouvons des élèves, qui par la suite du Bac ont obtenu une bourse d’excellence car ils auraient gagné même au préalable, lors des concours généraux. Ce qui facilite par ailleurs l’atteinte de cet objectif de les aider à réussir leur projet d’études » a souligné M Diao.

Il s’exprimait lors de l’ouverture des activités socio culturelles du Lycée Seydina Limamou Laye à Guédiawaye. A cette occasion, le cabinet n’est pas venu de mains mortes. Il a remis une enveloppe d’1 million de Fcfa aux responsables du lycée. De quoi satisfaire Benjamin Gomis directeur des études du lycée Seydina Limamou Laye.

« Ce n’est pas la première fois que le cabinet Sen orientation nous appuie. Ce geste nous va droit au cœur » s’est félicité M Gomis. Selon lui, c’est un montant qui vient à son heure car en fin d’année, les ressources sont très faibles. « Les examens profilent à l’horizon. Avec ce montant, nous pourrons s’organiser davantage pour encadrer nos élèves. Dans la banlieue, nous rencontrons beaucoup d’élèves démunis » a-t-il confié.

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