Comme chaque année, CorpsAfrica/Sénégal organise le « Pitch Day » qui est un événement phare dans le calendrier annuel de CorpsAfrica. Pour cette 3 éme édition, les régions de Saint Louis, Kaolack, Kédougou et Ziguinchor vont accueillir ces jeunes volontaires porteurs de projets communautaires d’aller à la rencontre de potentiels bailleurs. Dans un communiqué que nous avons reçu, CorpsAfrica/Sénégal confirme la tenue de la 3em édition du « PITCH DAY » qui est un événement de networking et de mobilisation de ressources pour appuyer les projets des communautés.
Lors de cette journée, les Volontaires de CorpsAfrica/Sénégal viendront avec une idée définitive de projet retenue par la communauté à présenter aux bailleurs sous le format d’un pitch. Ainsi, le communiqué ajoute qu’au cours d’une présentation de 4 minutes devant un panel de personnalités locales influentes, les volontaires partageront des informations importantes telles que la description du projet, le budget et l’appel à contribution. Cet événement promeut une culture de la philanthropie africaine tout en renforçant les compétences professionnelles des jeunes Africains, notamment en matière de présentation, de collecte de fonds, de réseautage et d’élaboration de propositions. Pour cette année, CorpsAfrica/Sénégal annonce des innovations majeures telles que la décentralisation de l’évènement dans les régions où sont déployées les volontaires. Les régions de Saint Louis, Kaolack, Kédougou et Ziguinchor ont été retenues. Toujours, le communiqué de CorpsAfrica/Sénégal rapporte que l’idée est d’organiser dans chacune de ces régions un événement du Pitch Day qui mettra à contribution tous les acteurs locaux. Ainsi, deux volontaires vont faire leur pitch de projets devant les acteurs locaux. L’objectif de cette démarche est selon toujours pour CorpsAfrica/Sénégal de cofinancer des projets communautaires à petite échelle et à fort impact portés par les communautés d’accueil des volontaires mais aussi de trouver des financements auprès des collectivités et partenaires intervenants, développer les compétences professionnelles de la jeunesse africaine, tout en instaurant une communication active dans les réseaux externes et internes, précise le communiqué.
